Kinésiologie

Les réflexes archaïques c'est quoi ?

Les mouvements qu’accomplit le bébé dans le ventre de sa mère sont essentiels à sa construction d’homme ou de femme. Le bébé bouge car il reçoit plein de stimuli dans le ventre sans le contrôle de l’encéphale. Parce qu’il fait ces mouvements, la gaine de myéline apparaît. Par les répétitions, le fœtus intègre les mouvements ce qui permet au système neurologique entre les membres, la moelle épinière et le cerveau de se mettre en place.

 

 

Les 1er mouvements réflexes sont dits « archaïques ou primitifs »  car ils découlent d’une maturation du système nerveux commencée dès la vie fœtale et qui se caractérise par une organisation progressive.
Chaque réflexe primitif constitue une sorte d’échafaudage, de structures provisoires nécessaires à l’élaboration d’un mouvement plus complexe. Ceci permet à l’enfant de franchir avec succès les différentes étapes de son développement neurosensoriel et moteur. Même si chaque être humain est unique, son développement physique et cérébral est le résultat d’étapes successives de croissance identiques pour tous.

 

 

Les réflexes archaïques sont des mouvements automatiques, répétitifs, répondant à des informations sensorielles reçues par des neurones et des récepteurs sensoriels du système nerveux. Celui-ci est d’abord immature puis va s’étoffer peu à peu. Les réflexes archaïques font partie de l’équipement de base du bébé pour se développer. Ils sont incontrôlables et observables pendant les 1er mois de la vie : les médecins, dès la naissance, recherchent ces comportements involontaires en testant quelques réflexes : succion, marche automatique, redressement de la tête … et vérifient ainsi l’intégrité neurologique du bébé.

 

 

Les réflexes vont permettre au bébé d’entrer en relation avec son environnement, d’élaborer une construction du réel par la mise en jeu de perceptions, de sensations et de réactions motrices.
Après avoir aidé les enfants à survivre et à apprendre les bases de l’apprentissage, ces réflexes sont destinés à être intégrés puis inhibés ou transformés par le cortex de leur cerveau.

Les réflexes archaïques aident les bébés à :
    • Venir au monde : les réflexes spinaux et le réflexe tonique asymétrique du cou aident au passage de la filière pelvienne.
    • Survivre et satisfaire ses besoins vitaux : le réflexe de succion (téter) et de recherche du sein (fouissement).
    • Myéliniser les gaines neuronales : jusqu’au cortex par la répétition de ces mouvements.
    • Se coordonner : réflexe tonique et asymétrique du cou, réflexe de préhension.
    • S’équilibrer et faire face à la gravité : réflexes posturaux.

 

À quoi servent les réflexes archaïques ?

Les réflexes archaïques sont importants pour une bonne condition physique, pour le développement intellectuel, émotionnel et le développement de la personnalité humaine.

1. Niveau moteur et postural

À la naissance, toutes les parties du cerveau sont en place mais ne fonctionnent pas encore pleinement.
Des connexions entre ses différentes parties doivent être établies : c’est grâce aux mouvements du corps que les fibres nerveuses vont pouvoir se développer et former un réseau de communication entre toutes les parties de son système nerveux : c’est la myélinisation.

Un bon développement moteur est le passage naturel et continu des mouvements involontaires (réflexes) vers un mouvement contrôlé. Dès les 1er années de la vie in utero, nous créons des connexions, par le biais de la myélinisation, entre nos entrées sensorielles et les réponses musculaires, établissant des liens profonds entre le développement cérébral, l’apprentissage et le mouvement.
Au départ les connexions neuronales sont peu nombreuses puis elles augmentent au fil des apprentissages et ce sont elles qui, par la suite, nous permettent d’avoir un raisonnement juste, rapide et de bonnes capacités de mémorisation.

Les différentes étapes chronologiques sont :
    • La gravité est notre 1er sens : elle se développe par les canaux de l’oreille interne qui maintient l’équilibre corporel par activation musculaire.
    • L’écoute et la communication : à 4,5 mois in utero, le fœtus répond à la voix de sa mère par des mouvements musculaires spécifiques, ancrant ouïe et mouvements.
    • Les réseaux neurologiques : le cerveau développe ses connexions neurologiques par le mouvement.
    • Les fondations de l’apprentissage : les mouvements créent des schémas musculaires sur lesquels se construit l’apprentissage.
    • Les lobes frontaux : les mouvements et rythmes stimulent les lobes frontaux du néo-cortex.

 

2. Niveau émotionnel

 

Moins l’enfant contrôle sa sphère motrice, plus il a tendance à des accès émotionnels inadéquats ou incompréhensibles et plus il cherche à contrôler ses émotions, plus ses mouvements sont brusques, non coordonnés et apparemment « agressifs ».
Empiriquement, des liens ont été faits entre les réflexes non intégrés et des difficultés à relâcher ses émotions ou à entreprendre une mauvaise estime de soi, des états d’angoisse, de stress, de dépression, des comportements agressifs, de la paresse.
Le bon fonctionnement des réflexes primitifs et posturaux est indispensable pour développer la confiance en soi, s’équilibrer, se coordonner, communiquer, apprendre et pour le bien-être.

3. Niveau cognitif (scolaire)

 

Seuls les organismes vivants ayant une activité motrice ont 1 cerveau.
« On peut affirmer que plus l’enfant bouge naturellement, fréquemment, convenablement et en harmonie avec sa nature, plus les processus de pensée seront développés, de même pour les capacités langagières. » Masgutova

4. Niveau sensoriel

 

À la naissance, les sens et les réflexes sont inextricablement liés. Le bébé répond instinctivement aux sensations internes et externes. Au fur et à mesure que l’enfant grandit, chaque sens se développe en acuité et en efficacité tout en fusionnant avec les autres pour donner une image complète de l’environnement. Si l’un des sens est trop développé alors qu’un autre ne l’est pas assez, il en résulte un déséquilibre dans l’information recueillie sur une expérience donnée.
Chaque réflexe procure à l’enfant des expériences kinesthésiques, tactiles et vestibulaires. Ces expériences sensorielles au jour le jour l’aident à sentir son corps, chaque partie de son corps, sa tête lourde, ses bras, ses jambes, les liens qui peuvent s’établir entre elles.

 

En plus de la nourriture, l’enfant a besoin de chaleur de contacts corporels, de sourires, d’amour et de stimulation. Il a besoin qu’on s’occupe de lui et entre peu à peu en relation avec l’adulte. Toutes ces expériences se mêlent et stimulent peu à peu son développement nerveux qui ne sera achevé qu’à l’âge de 3 ou 4 ans seulement.

 

Les 16 principaux réflexes archaïques

 

1. Réflexe de défense ou MORO

 

Premier réflexe à se mettre en place in utero, il s'agit d'un réflexe de survie, d'une réaction d'alarme à une menace (réelle ou non).

Il se déroule en 2 phases : 

• Réflexe de paralysie par la peur
• Réflexe d'embrassade : repli sur soi comme un embrassement

 

C'est à partir de ce réflexe que les autres réflexes sont engendrés et apparaissent.

 

2. Réflexe de BABKIN ou PALMONENTONNIER

 

   

 Réflexe très lié au développement du langage et de l'articulation : il sert à la coordination des doigts, du pouce, à la force du bras pour porter, agripper,   etc. Il assiste la succion.

 

 

3. Réflexe palmaire ou Agrippement de Robinson ou Grasping ou Réflexe de Préhension

 

 

 

 Ce réflexe influence l'évolution de la coordination motrice globale, de la prise et du maintien d'objets, de la manipulation et plus tard de la coordination   motrice fine des doigts pour l'écriture, le dessin, la musique, etc.

 

 

 

4. Réflexe tonique asymétrique du cou ou RTAC

 

 

 

Le développement de ce réflexe in utéro explique bon nombre de coups de pieds. Il permet le développement du tonus musculaire et fournit aussi une   stimulation.

 

 

 

 

5. Réflexe tonique du labyrinthe ou RTL en FLEXION ou Réflexe ToniqueLabyrinthique du cou

 

 

Ce réflexe permet au fœtus de se retourner vers l'âge de 6 mois et de s'installer la tête en bas engagée dans le bassin. Le labyrinthe et les centres  vestibulaires développement ainsi la prise d'information sur la position dans l'espace.

 

 

6. Réflexe SPINAL de GALANT

 

 

Ce réflexe soutient la coordination avant-arrière et le développement des liens entre les jambes et l'axe du corps. Il prépare le nourrisson à tenir  debout et plus tard à marcher.

 

 

7. Réflexe tonique du cou ou RTSC

 

Ce réflexe est activé dans 3 positions :

 

 

La flexion de la tête provoque une flexion des bras et une extension des jambes : elle amène le corps vers le bas

 

 

L'extension de la tête provoque une extension des bras et une flexion des jambes : elle fait lever le corps

4 pattes

 

 

 

 

 

C'est ce mouvement qui initie la synchronisation du traitement des informations des 2 hémisphères et joue un rôle important dans la vision binoculaire et l'écoute binaurale.

 

 

8. Réflexe de traction des mains

 

 

Ce réflexe aide le bébé à développer les capacités à tenir et manipuler des objets dans sa main : amener à sa bouche, jeter, passer les objets d'une main à l'autre, etc. Bien intégré, ce réflexe permet de soutenir les muscles dans le fonctionnement et le développement des mouvements précis des mains et des doigts lors de la préhension d'objet.

 

 

9. Réflexe du soutien des mains ou Parachute

 

 

 

Ce réflexe développe la coordination motrice de la partie supérieure du corps. Il influence la mise en place de la vision de la perspective (3D), la coordination oculomotrice et commande la progression de l'activité motrice globale manuelle et la capacité à manipuler de gros objets.

 

 

 

 

10. Réflexe de BAUER ou le Reptile et Réflexe Amphibien

 

 

Ce réflexe joue un rôle actif dans le processus de naissance pour facilité l'avancée dans le canal de naissance. Il favorise la coordination entre le haut et le bas du corps, entre les membres et l'axe du corps. Il prépare l'enfant à ramper puis à marcher et il est responsable de la coordination de type homo-latérale, bilatérale et latérale croisée.

 

 

11. Réflexe plantaire ou Allongement croisé

 

 

 

 

Ce réflexe influence le développement des muscles et la coordination des jambes. Il aide également à développer la capacité à sauter et sautiller, de déplacer le poids du corps d'une jambe à l'autre lors de la marche ou de la course ainsi que la capacité à rester en équilibre et stable lorsqu'on tient sur une seule jambe.

 

 

 

 

 

12. Réflexe d'attachement

 

 

 

 

Ce réflexe a une influence cruciale sur la future sensibilité physique et émotionnelle de sécurité et sur la formation d'une confiance en soi, d'une assurance ou d'une méfiance de base envers le monde. (E. Erikson 1980)

 

 

 

 

13. Réflexe Tonique du Labyrinthe ou RTL en Extension

 

 

Ce réflexe permet aux muscles extenseurs du corps de se tonifier pour maintenir la position de la tête et le bébé va pouvoir développer sa coordination main œil, son acuité visuelle, se retourner, se redresser, manger. Ce réflexe développe le contrôle et la tonicité de l'ensemble du corps.

 

14. Réflexe SPINAL de PEREZ

 

 

Ce réflexe est à la base du développement de l'ensemble de la coordination corporelle et notamment du lien entre, d'une part les membres et la tête en passant par le centre du corps et, d'autre part l'avant et l'arrière.

 

 

15. Réflexe de Babinski

 

 

Ce réflexe influence l'évolution de la latéralité et prépare à la marche debout.

 

 

 

16. Réflexe de LANDAU ou l'Oiseau

 

 

Ce réflexe contribue au tonus musculaire du dos et du cou en position allongé sur le ventre. Il améliore la différenciation des mouvements de la colonne pour stimuler le cou, les bras, les avant-bras, le dos et les jambes.

 

 

 

Réflexes archaïques intégrés et non intégrés

Réflexes bien intégrés

 
Lorsque les réflexes sont bien intégrés cela permet à l’enfant de se développer au mieux tous ses potentiels d’apprentissage, allant de se mettre à 4 pattes, de tenir sa tête droite, de se mettre sur 2 jambes, de marcher, d’apprendre à parler, lire, écrire etc.
L’apprentissage naturel et sain utilise les mouvements primitifs et les réflexes archaïques qui développent à un moment précis. Dans la 1er année de l’enfant, à mesure que le système nerveux se développe, les réflexes archaïques sont transformés naturellement, contrôlés par le cortex et s’intègrent dans son schéma corporel global afin d’ancrer une base solide pour le développement de la motricité volontaire (vélo, écriture, etc.) et du système d’apprentissage en général.

 

Un réflexe intégré est :
    • Essentiel à l’adaptation, à la survie, à la protection et au bon développement du nouveau né.
    • Indispensable pour apprendre, communiquer, s’équilibrer, se coordonner, se protéger, avoir confiance en soi, se sentir en sécurité, etc.

 

Réflexes non intégrés

Lorsque certains réflexes ne sont pas complètement intégrés cela va créer des dysfonctionnements : l’enfant, le jeune ou l’adulte va fonctionner en mode de survie et aura du mal à développer ses potentiels. Il est maintenu dans le système reptilien, au niveau du tronc cérébral et réagit au lieu d’agir, de penser, de construire, etc. L’apprentissage (à tous les niveaux) est alors compromis.
Dans des conditions normales, chaque ensemble de mouvements identifié comme réflexe joue un rôle puis disparaît pour être intégré dans un mouvement de plus en plus complexe, volontaire et contrôlé.

 

De nombreuses variables peuvent cependant interférer dans ce processus (prédisposition génétique, stress durant la grossesse, la naissance, etc.)
    • Si certains réflexes archaïques sont toujours présents ou hyperactifs : ils vont ralentir l’enfant dans son développement, ne lui permettant pas de mettre en place des comportements de coordination volontaires et de motricité fine : des comportements et d’autres problèmes peuvent en découler (hyperactivité, manque de coordination, crispation à l’écriture, etc.) → ces réflexes conservés se manifestent d’une manière qui affecte le bien-être émotionnel et social, ainsi que les progrès académiques.
    • Si ces réflexes ne sont pas développés à temps ou hypoactifs : l’enfant va manquer de fondations solides pour certaines activités comme manque d’équilibre, problème de mémoire ou de compétences spatiales, maths, mauvaise tenue du stylo, etc.

 

Les comportements types	Les réflexes probablement non-intégrés
Enfant agité qui se tortille sur sa chaise, ne tient pas en place, s’affale sur son bureau, enroule ses pieds à ceux de la chaise, se met à genoux sur sa chaise.	Galant - RTSC
Enfant appuyant tellement fort sur son stylo que la mine casse ou qu’il transperce la feuille.	Agrippement – RTAC
Enfant oubliant ses leçons d’une journée sur l’autre.	RTL – Moro – Perez
Enfant ayant dû mal à s’organiser, inversant b/p/d/q ou sac et cas, ne distinguant pas sa droite et sa gauche et qui n’arrive pas à retrouver son chemin sur une carte.	Moro – RTAC
Enfant faisant tomber des objets, trébuchant, se faisant des croche-pieds.	RTAC
Enfant rêveur, regardant autour de lui mais n’accordant aucun intérêt à sa tâche en cours (leçon ou devoir).	RTL – Perez – Soutien des mains
Enfant fonceur, précipité, manquant de contrôle, toujours partant … mais pour aller où ?	Babinski
Enfant ayant toujours peur de se tromper et de l’échec. Il ne peut pas répondre alors qu’il connaît la solution, de peur de se tromper et doutant en permanence de lui et de ses réponses.	Moro
Enfant inquiet cherchant à tout contrôler et qui peut en devenir brutal.	Soutien des mains - RTL

Réflexes archaïques et kinésiologie

 

Un réflexe archaïque non complètement intégré et donc toujours présent n’est pas une fatalité, il est toujours possible de finir son intégration. 

 

En kinésiologie, nous utilisons la méthode de Svetlana Masgutova qui consiste à remodeler le réflexe en effectuant des mouvements isométriques entre la personne et le kinésiologue : la personne doit empêcher le kinésiologue de faire le mouvement sur des temps d’expiration dans le sens du réflexe puis dans le sens opposé et enfin dans divers sens.

Des mouvements de Brain Gym peuvent également être conseillés à la maison pour aider dans l’intégration du réflexe.

Il n’est pas vraiment nécessaire de remodeler un réflexe avant l'âge de 7/8 ans : en effet, il est important de laisser le temps à l’enfant de finir ses intégrations. 

 

 

Sources : 

• Manuel de cours de l'IEK

Kinésiologie

Définition

 

L'édu-kinésiologie est une des branches de la kinésiologie et est beaucoup utilisé pour améliorer l'apprentissage.

L’éducation kinsesthésique ou édu-kinésiologie signifie « apprendre à travers des expériences de mouvements naturels ». L’apprentissage n’a de sens que s’il est intégré au fonctionnement propre de la personne et s’il lui est pertinent et accessible.

 

 

 

 

Historique

 

 

Paul Dennison a développé ces procédures d’équilibrage sur plus de 20 ans :
 

• Diplômé de l’université de Boston, il enseigne tout d’abord dans les écoles publiques primaires de Los Angeles. Il participe à des programmes de lecture avant de fonder son 1er institut de lecture.
• Après avoir étudié le travail de Samuel Orton (pionnier dans l’étude des troubles de l’apprentissage et de la dyslexie) et de Doman et Delecato (fondateurs de la méthode décriée de patterning qui porte leur nom), Dennison commence à introduire des entraînements moteurs et perceptuels et à vérifier la main et l’œil dominant chez les élèves.
• Il soutient sa thèse sur la relation entre le langage interne et l’acquisition des compétences en lecture en 1976 puis travaille à la fois avec des optométristes sur l’entraînement visuel (ce qui donnera plus tard les Cercles de Vision) et des chiropracteurs.
• Il découvre le Touch For Health (principale branche de la kinésiologie) en 1979.
• En 1980, il fait paraître son livre Switching On (traduit en France sous le titre Kinésiologie, le plaisir d’apprendre) dans lequel il présente les 26 mouvements de Brain Gym.
• En 1981, il donne ses 1er cours d’éducation kinesthésique.
• En 1983, il créé le cours sur les 7 dimensions de l’intelligence.

 

Les postulats de base

 

• Le stress inhibe nos compétences naturelles et notre potentiel.
• Le mouvement permet de faire fonctionner notre cerveau et notre corps de manière optimale et naturelle. Nous assimilons nos expériences en bougeant, en sentant physiquement, en ressentant émotionnellement et en pensant.
• Les activités sont simples et accessibles à tous.
• Les accompagnants vont là où les apprenants sont disposés à aller.
• C’est une méthode individuelle qui ne propose pas de solutions préétablies pour une difficulté donnée.

 

Vocabulaire employé

 

Les termes employés mettent les apprenants en situation d’évolution, d’attitude positive et de bienveillance de la part du thérapeute. Parler d’apprentissage met dans une disposition où les difficultés et les échecs sont considérés comme des expériences.

• Utilisation des termes « intégration », « équilibrage » ou « remodelage » au lieu de « correction ».
• Mode de repérage ou « j’acquiers » → tout apprentissage est graduel. Il est naturel et normal de passer par une phase d’essais, d’échecs parfois, de doutes, de manque de confiance en soi. On ne peut faire l’impasse du temps nécessaire à la mémorisation corporelle et à l’intégration de toute nouvelle expérience dans sa base de données.

 

Chaque apprenant va prendre ses marques, ses repères, son rythme, penser et décomposer ses gestes. Il peut arriver cependant de rester dans l’incapacité de passer à l’étape suivante pour bien des raisons : manque de confiance ou d’estime de soi profond, stress divers, absence de motivation ….

 

Les objectifs

 

Les mouvements d’édu-kinésiologie peuvent nous aider dans l’intégration de nouvelles compétences mais pas que ! Ils visent à équilibrer la personne pour qu'elle puisse s'améliorer entre autre sur :

• L’apprentissage et le goût d’apprendre de nouvelles choses
• La communication avec les autres, mais aussi avec soi-même
• La concentration, quel que soit l’environnement ou l’état émotionnel
• Le repérage spatio-temporel
• Le dynamisme
• L’organisation
• L’adaptation aux situations les plus inattendues
• La détente et le lâcher-prise après l’effort intellectuel
• L'équilibre
• Les fonctions cognitives

 

Et ce :

• Soit en mode automatique ou « j’ai compris » → l’apprentissage est mémorisé, totalement intégré. La personne fait les choses sans forcément les conscientiser.
• Soit en mode observation  → observer signifie que l’on porte attention à notre état corporel, à nos émotions, à notre esprit. C’est un processus de focalisation de son attention dans le présent sur la manière dont nous faisons les choses. Mais observer, c’est aussi être attentif aux changements à la fois subtils et profonds qui améliorent notre aisance, notre confiance et notre efficacité à utiliser de nouvelles compétences. Chaque nouvelle compréhension provient de notre vécu sensoriel et plus nous observons, plus nous créons de nouvelles connexions. L’observation apporte la conscience de soi et nous aide à effectuer des choix individualisés. Chaque mouvement involontaire ou réaction doit être prise en compte (rictus, agitation, perte d’équilibre, respiration bloquée, …).

 

L'intégration tri-dimensionnelle

 

L'intégration tri-dimensionnelle a une importance majeure sur notre capacité à aborder la vie dans tous les domaines.

Lors d'une séance de kinésiologie en particulier, le test musculaire va permettre de vérifier les circuits cerveau / corps qui permettent différents fonctions :

• La latéralité représente l'intégration des hémisphères droit et gauche et correspond à la communication
• Le centrage représente l'intégration du cortex (partie haute) et du primitif (partie basse) et correspond à l'enracinement et à l'organisation
• Le focus représente l'intégration du cerveau antérieur et postérieur et correspond à la concentration

 

Latéralité

Il s'agit de l'intégration gauche / droite du cerveau et permet d'assurer la possibilité d'une communication sans entrave entre les deux hémisphères.

Dans les problèmes de latéralité, le cerveau gauche prend le pouvoir et à tendance à mettre trop d'effort dans le mental et cela a pour conséquence une réaction irrationnelle au stress.

• Le cerveau gauche : est rationnel et logique, il ne fait jamais rien sans but. Il comprend notamment l'aire de Broca, aire dédiée à la parole et au langage.
• Le cerveau droit : est le cerveau du geste et du mouvement. Il est visuel, créatif, sans jugement et sans émotions mais il fait des constats et analyse les sensations.

 

 

Cette capacité d'intégration permet :

• D'intégrer le corps et le cerveau
• De solliciter l'hémisphère approprié devant une tâche spécifique, tout en laissant les deux hémisphères fonctionner simultanément et donc sans domination de l'un des hémisphères.
• D'atteindre plus facilement son but (pas d'auto-sabotage par exemple)
• D'agir selon sa pensée au lieu de penser sans agir ou d'agir sans penser

 

Centrage

Il s'agit de l'intégration haut / bas du cerveau et permet d'avoir les pieds sur terre, de se sentir en sécurité et d'être bien organisé.

L'axe haut / bas est en rapport avec les mouvements de la marche et la coordination crâne / sacrum.

• Le cortex : est le cerveau de l'intelligence (toutes les formes d'intelligence) et a la capacité d'abstraction, de concepts, d'imagination et créativité et de conscience (observation de ce que je fais, de ce que je suis).
• Le primitif : est le cerveau du mammifère avec le limbique, le cerveau archaïque avec le cervelet. Chaque information passe par le limbique pour "transférer" l'émotion, tandis que le cervelet maintient les mouvements automatiques et a pour fonction de nous protéger en cas de danger.

 

Cette capacité d'intégration permet :

• Une meilleure coordination et un meilleur équilibre
• Le sens de l'enracinement et de la solidité
• D'être à l'aise avec son corps en respirant librement
• De réagir de manière appropriée aux stimuli externes
• De mieux organiser les pensées
• D'être conscient des émotions et en d'être en mesure de les exprimer
• De passer à l'action

 

Focus

Il s'agit de l'intégration avant / arrière du cerveau et permet d'être concentré, de garder le sens du contexte et une meilleure capacité à assimiler les informations pour en profiter.

• Le lobe frontal : est spécialisé dans les comportements intentionnels, la capacité de formuler, d'exécuter et d'anticiper un plan d'action. Cette partie est aussi responsable de l'initiation du mouvement volontaire et postural.
• L'arrière du cerveau : est une aire sensorielle dont la fonction est d'observer et d'absorber l'information de l'environnement

 

 

La concentration : c'est être capable de savoir ce que l'on lit et de pouvoir raconter ce que l'on a lu -> la mise en œuvre des données dans le cerveau postérieur est transformée en langage verbal (fonction qui dépend du cerveau antérieur). Focaliser son attention dépend de la souplesse des muscles postérieurs du corps (base du crâne, nuque, sacrum, genou) : si les muscles et les ligaments sont hypertoniques, cela peut entrainer un blocage et une baisse de concentration.

Pour qui ?

 

L'édu-kinésiologie tout comme la kinésiologie s'adresse à toute personne quel que soit son âge.

 

 

Pour les enfants :

• Les activités ou mouvements de BrainGym vont permettre notamment :
• De stimuler au maximum leur capacité d'apprentissage et d'équilibre, en ajoutant une part d'activité physique pour simplifier les acquis intellectuels. Les enfants apprennent plus facilement par le jeu et les notions s'intègrent plus rapidement.
• D'apporter une aide lors de troubles d'apprentissage comme les difficultés de concentration, les troubles dys, l'hyperactivité etc.
• D'aider à gérer ses émotions
• D'améliorer sa concentration

 

 

 

Pour les adolescents et les adultes :

Les activités ou mouvements de BrainGym vont permettre notamment :

• De se détendre et d'apaiser le stress
• D'augmenter sa confiance en soi
• D'améliorer sa concentration
• D'aider à gérer ses émotions

 

 

Pour les adolescents et les adultes :

Les activités ou mouvements de BrainGym vont permettre notamment :

• De stimuler les capacités cognitives
• De stimuler le tonus musculaire
• D'améliorer l'équilibre
• D'apaiser le stress
• D'aider à gérer ses émotions

 

Dans quel cadre les mouvements sont-ils effectués ?

 

Les mouvements de Brain Gym ou d'édu-kinésiologie peuvent être effectués lors :

• D'une séance individuelle de kinésiologie : selon l'objectif de la séance, 1 ou plusieurs mouvements peuvent être exécutés au cours de la séance. Il est ensuite possible qu'il vous soit conseillé de les reproduire à la maison afin qu'ils soient bien intégrés.
• D'un atelier de groupe : selon une thématique comme se détendre, prendre soin de soi, améliorer son apprentissage, plusieurs mouvements vont être exécutés afin d'améliorer votre quotidien. Il vous est possible par la suite de refaire ces mouvements chez vous à votre convenance.

 

Focus sur un mouvement essentiel pour tous !

 

Ce mouvement vital pour chacun d'entre nous est de boire de l'eau et permet, en plus d'hydrater son corps, de :

• Améliorer la concentration (allègement de la fatigue mentale)
• Avoir une meilleure aptitude au mouvement
• Améliorer la coordination mentale et physique
• Réduire le stress.

 

 

L’eau est essentielle au bon fonctionnement du système lymphatique qui lui-même nourrit nos cellules et élimine les déchets. Le stress psychologique ou environnemental vide également l’organisme de son corps (comme uriner, transpirer etc.) → Astuce : ne pas avaler l’eau tout de suite : la garder un peu en bouche et essayer de la mâcher.

 

 

 

 

Sources : 

• Manuel de cours de l'IEK
• Site Jokerscolaire pour la photo cerveau haut / bas
• Livre "Brain Gym - Le mouvement, clé de l'apprentissage" de Paul et Gail Dennison

Kinésiologie

Kinésiologie

La séance se déroule en plusieurs étapes :   

 

 

1. L'entretien : durant lequel nous ferons connaissance et qui permet de définir ensemble vos motivations et les problématiques du moment.   

 

2. La mise en route : permet de s'assurer que tout est ok pour continuer la séance. 

 

3. L'équilibration : permet de rééquilibrer le corps, l'esprit et l'énergie selon votre objectif à travers différents protocoles qui sont à ma disposition. Le ou les protocoles utilisés sont sélectionnés selon votre réponse au test musculaire. C'est votre corps qui m'indique de quoi il a besoin afin de pouvoir atteindre votre objectif.   

 

                                                      

 

 

4. La récession d'âge : permet d'identifier et de libérer le stress causal d'un moment précis dans le passé afin de ne plus revivre ce stress dans le présent. Notre corps emmagasine chaque expérience vécue et le cerveau ne faisant pas la distinction entre passé et présent, les souvenirs du passé déterminent notre comportement dans le présent. Cette étape permet de décider comment réagir face à une situation identique et non plus de subir la situation.

 

5. L'ancrage : selon les protocoles effectués, il est possible que vous repartiez chez vous avec des exercices à effectuer, des phrases à répéter ou bien des élixirs de fleurs (Fleurs de Bach, de Pérélendra, de Rose) à prendre (dans ce cas, le flacon avec les fleurs nécessaires vous sera fourni).    

 

                                                                               

 

 

 

6. Fin de séance : un bilan de la séance pourra être fait et je pourrai également répondre à vos questions.

 

L'après séance :

21 jours sont nécessaires à votre corps pour intégrer les différentes informations reçues pendant la séance. Durant ces 21 jours, il est possible de ressentir des malaises et/ou des réactions corporelles et/ou émotionnelles : malgré l'inconfort que cela représente, c'est positif car c'est une des façons que votre corps a trouvé pour se libérer du stress et se rééquilibrer.

Je reste disponible en cas de questions, de doutes ou encore d'inquiétudes après une séance.

 

Selon la problématique et afin de travailler en profondeur, plusieurs séances peuvent être nécessaires. Dans ce cas, il faut prévoir au minimum 4 semaines entre 2 séances.

 

 

Un Kinésiologue n’établit pas de diagnostic, ne prescrit rien et ne se substitue pas à un avis médical mais peut être une aide complémentaire au bien-être et à la santé de chacun.

Kinésiologie

La kinésiologie est apparue aux États-Unis dans les années 1960 : Le Dr Georges Goodheart, médecin et chiropracteur, s’étonnait de voir toujours revenir ses patients pour la même problématique malgré les soins prodigués et le soulagement ressenti par les patients après une séance de chiropractie notamment.

 

 

Il s’est alors posé des questions sur le fonctionnement du corps et des muscles en particulier. Il a fini par mettre en évidence que les processus intérieurs du corps et du système nerveux se répercutent sur l’état fonctionnel des muscles. À partir de cette évidence, il a développé une façon radicalement nouvelle de considérer le muscle : la kinésiologie appliquée.

Il va alors prendre en considération l'ensemble muscle / organe / méridien qui forme un circuit fonctionnel : ainsi, il n’est pas toujours nécessaire de remettre les vertèbres en place par la force, mais plutôt de chercher à renforcer les muscles faibles qui ne soutiennent plus la colonne vertébrale. Ainsi en renforçant un muscle faible, on améliore le fonctionnement de l’organe qui lui est associé.

 

Le Dr Goodheart va alors utiliser le test musculaire comme base de soins. Le test musculaire consiste non pas à évaluer la force mais le tonus musculaire. Le tonus musculaire correspond au temps de réaction / de contraction du muscle entre le stimulus reçu (envoyé par les cellules proprioceptives) et l’ordre donné par le cerveau de contracter le muscle (fonctionnement des circuits neurologiques entre le muscle et le cerveau). Lorsque le cerveau est préoccupé par autre chose (par un stress), l’ordre de contraction n’est pas prioritaire et le temps de contraction va être un peu plus long. C’est quelque chose que l’on a déjà tous expérimenté : par exemple, si nous sommes debout à l’annonce d’une mauvaise nouvelle, nos jambes flanchent et nous devons nous asseoir. Ainsi il est possible de déterminer si le stimulus est source de stress.

 

 

 

Lors des conférences que le Dr Goodheart a donné, il a rencontré différents médecins qui vont venir ajouter à la kinésiologie appliquée des notions de médecine chinoise, de chiropractie, d’ostéopathie, d’acupuncture, de naturopathie, d’allergies ou encore la notion d’émotions.

De toutes ses rencontres vont naître les 3 branches principales de la kinésiologie telle que je l’ai apprise :

 

 

Le Touch For Health (John F. TIE – 1967) : cette méthode est considérée comme la base des différentes branches de la kinésiologie. Il s’agit d’une technique non médicale de prévention, de régulation du stress et de rééquilibrage postural. Différents grands muscles sont testés et sont mis en relation directe avec le système organique, structurel et biochimique de l’individu. Le rééquilibrage effectué par cette méthode est issu à la fois de la tradition orientale et à la fois des techniques occidentales comme les massages neuro-lymphatiques ou neuro-vasculaires des muscles référents. Cela donne accès à un équilibre biochimique/énergétique, une meilleure connaissance de son alimentation, une régulation du stress et une meilleure conscience posturale.

 

 

L’édu-kinésiologie ou Brain Gym (Paul DENISSON) : cette technique permet d’aider toute personne éprouvant des difficultés d’apprentissage, particulièrement les enfants en situation d’échec scolaire. Il s’agit d’un ensemble de mouvements coordonnés qui facilitent l’intégration des hémisphères cérébraux et restaurent le processus naturel d’apprentissage. Cela permet notamment de corriger les problèmes de latéralité, de coordination, de centrage ou encore de concentration.

 

 

 

 

Le Three In One Concept (Gordon STOKES, Daniel WHITESIDE et Candace CALLAWAY – 1970) : cette méthode a pour but l’intégration du corps, du mental et de l’esprit, afin de nous libérer de nos conditionnements, de nos systèmes de croyance, du stress du présent et du passé, de tout ce qui limite notre perception et nous empêche d’atteindre nos objectifs dans la vie. Cela permet notamment d’améliorer ou de renforcer la confiance en soi, l’estime de soi.

 

 

 

Comme vous l’aurez compris, la kinésiologie est une approche globale (holistique) qui prend en compte les différentes dimensions d’une personne : la dimension structurelle (aspects physiques et anatomiques), la dimension psycho-émotionnelle (reflète notre psychologie et nos émotions) et la dimension biochimique (reflète notre physiologie -hormones- et notre énergie). Ces 3 dimensions sont représentées sous la forme d’un triangle équilatéral (triangle de la santé) qui représente l’équilibre de la personne où chaque côté représente une dimension. 

 

 

 

 

Chacune de ces 3 dimensions est aussi importante que les 2 autres. Elles sont également interconnectées : Si l’une d’elles vient à être déséquilibrée, les 2 autres le seront elles aussi par effet boomerang. En effet, le corps recherche toujours une homéostasie (un équilibre) et s’adapte selon les déséquilibres d’une ou plusieurs dimensions. Par exemple, lors d’un stress prolongé, la dimension biochimique va être déséquilibrée par la sécrétion importante de cortisol notamment. Cela va ensuite entraîner des insomnies, de la fatigue et de l’irritabilité et donc déséquilibrer la dimension psycho-émotionnelle. Puis enfin, cela va impacter la dimension structurelle en générant des douleurs musculaires.

La bonne nouvelle c’est que si le déséquilibre d’une dimension impacte les 2 autres, le rééquilibrage également !

 

La kinésiologie va permettre de retrouver son équilibre originel en traitant ce stress prolongé soit en passant directement par la dimension structurelle, soit en passant par la dimension psycho-émotionnelle, soit en passant par la dimension biochimique selon différents outils proposés par les 3 branches. Cela peut être des mouvements, des techniques issues de l’ostéopathie et chiropractie, des points d’acupressure, parler d’une émotion, l’utilisation de différentes essences comme les fleurs de Bach ou de Pérélendra, l’utilisation de l’analyse transactionnelle (systèmes de croyance, injonctions, comportements).

 

                              

 

Et comme le corps enregistre tout notre vécu, fonction appelée mémoire cellulaire, la kinésiologie via le test musculaire va permettre également de mettre en avant des évènements du passé qui peuvent être à l’origine du stress ressenti aujourd’hui afin de vous permettre de trouver 1 solution ou 1 autre issue face à cet évènement passé : le cerveau ne faisant pas la différence entre réalité et imaginaire, une visualisation peut permettre d’indiquer qu’il est possible d’agir différemment.

La kinésiologie est une pratique qui est à l’écoute de la personne : c’est votre corps qui me guide tout au long de la séance, car il sait ce dont vous avez besoin pour atteindre votre objectif. Cela veut dire qu’en tant que kinésiologue, je respecte votre personne et votre rythme. Si vous n’êtes pas prêt par exemple à aborder un sujet, un évènement, nous n’irons pas le traiter tant que cela n’est pas ok pour vous. Prenons l’image d’un oignon : si on le coupe en 2, cela va nous faire directement pleurer et être douloureux. Alors que si on enlève une pelure après l’autre, cela va se faire un douceur. Chaque séance de kinésiologie, permet d’enlever une pelure après l’autre afin d’être prêt pour le moment où on arrive au cœur de l’oignon et donc à l’origine de la cause du stress.

 

La kinésiologie représente une aide pour tout type de maux :

 

• Concernant la sphère physique : douleurs récurrentes, migraines, mal de dos, tensions musculaires, fatigue, troubles digestifs, douleurs menstruelles, dérèglement hormonal, allergies, intolérance alimentaire, psoriasis, eczéma, …

 

• Concernant la sphère psycho-émotionnelle : gestion du stress, angoisse, anxiété, dépression, colère, traumatisme, accidents de la vie, phobie, addiction, troubles du sommeil, confiance en soi, difficultés à prendre des décisions, …

 

• Concernant la sphère mentale : troubles de l’apprentissage, difficultés scolaires, problèmes de concentration ou d’organisation, troubles dys (dyslexie, dysorthographie etc.), préparation aux examens, …

 

La kinésiologie s’adresse à toute personne quel que soit son âge : bébé, enfant, adolescent, adulte, personne âgée mais également sportif, personne handicapée (autiste par exemple).

Il est également possible de travailler sur un groupe : famille, équipe de travail, équipe sportive. Dans ce cas, la séance permet de travailler directement sur l’émotion du groupe et permet notamment d’améliorer la communication entre les personnes et renforcer la cohésion par exemple.

 

Pour conclure : la kinésiologie est un accompagnement pour aller vers votre plein potentiel : reprendre votre croissance pour atteindre l’autonomie, reprendre les rênes de votre vie.

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